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Blog Suprême

14 décembre 2008

K. Bande d'alcoolique

Les résultats du dernier sondage de Léger Marketing sur le sujet nous font savoir que plus d’un québécois sur dix prennent le volant après avoir but deux verres d’alcool en moins d’une heure. Ce sondage nous laisse donc comprendre que 12 % des Québécois conduisent aux dessus de la limite permise. Une autre partie du sondage nous démontre que, lorsqu’en état d’ébriété, 85% craignent d’avoir un accident, et 60% d’être arrêté par la police.

Lorsque des gens sont en état d’ébriété, rarement ils auront conseils de leurs proches. Cependant, ce qui ont la chance de l’avoir ont souvent l’oreille attentive car, même si seulement 1 conducteur sur 5 à la chance d’avoir le conseil de ses proches, 80% de ses conducteurs le suivront.

La problématique est que la majorité des conducteurs saouls n’ont pas la possibilité d’avoir leurs proches avec eux…ou du moins ils essayent de le faire en l’absence de leurs amis. Le sondage révèle aussi qu’un Québécois sur 3 à déjà été en contact avec un conducteur en état d’ébriété, et que 75% des fois, le conducteur saouls se laissent convaincre de ne pas conduire et de prendre un taxi. La question que tout le monde se posent est la suivante. Pourquoi personne ne remarque qu’un conducteur, dans l’impossibilité de prendre le volant dû à un excès d’alcool s’apprête à conduire. Une des raisons est le fait que, le conducteur saoul essaye de prendre le volant à l’égard des autres. L’autre est que, par supposition, les Québécois surestiment leur capacité sociale, et de ce fait interviennent le moins souvent.

Cependant, l’alcool n’est pas le plus gros problème. La proportion des conducteurs drogués est plus élevée que celle des conducteurs saouls. Le quart des conducteurs sous l’effet des drogues tels que le cannabis, la cocaïne, ou l’amphétamine est deux fois plus élevés que ceux qui conduisent sous l’effet de l’alcool.

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11 décembre 2008

H.I.J. Un nouveau

La reconstruction du Parti libéral à l’égard du Canada sera l’une des priorités du nouveau chef du Parti libéral du Canada, Michael Ignatieff. Étant en chute libre, le PLC se doit de reconquérir le cœur et l’appréciation des Canadiens s’il veut espérer avoir le soutien de la population lors de prochaines élections. Le nouveau chef se donne aussi comme mandat de renforcer les liens avec le Parti libéral du Québec.

Lors de la soirée d’élection, M. Ignatieff a téléphoné le chef libéral au Québec, M. Jean Charest, afin de lui souhaiter les meilleures chances. Rappelons que lundi soir, M. Charest a remporté les élections avec une mince majorité à l’Assemblée nationale.

« Ce n’est pas normal qu’il n’est pas de lien étroit entre le PLC et le PLQ ». Il faut noter qu’aux dernières élections fédérales, le PLC, qui était dirigé par Stéphane Dion avait fait une piètre performance, perdant 18 sièges au total. Leur performance dans la province de Québec avait été pitoyable, perdant la majorité de ces contés au profit du Parti Conservateur de Stephen Harper. Selon le nouveau chef, si le PLC veut reconquérir le cœur des Québécois, il faut tout d’abord renouer les liens avec le PLQ. Avec le froid qui s’est installé entre le PC et le PLQ, c’est le parfait moment pour retrousser les liens.

«Nous ne pouvons jamais tenir l'appui formel du Parti libéral du Québec pour acquis. Mais il me semble qu'il est possible d'avoir des liens avec des gens dont les intérêts convergent avec les nôtres, particulièrement dans le contexte de crise que nous vivons», a ajouté un autre stratège libéral qui travaille dans l'entourage de M. Ignatieff.

La pente sera difficile à monter pour le PLC, cependant, avec leur nouveau chef, tout est possible. De plus, avec les propos dits par Stephen Harper à l’endroit du Bloc Québécois, le vent semble tourner en faveur du PLC. Michael Ignatieff devra alors user de tout ce qui est en son pouvoir pour reconquérir le cœur des Québécois.

«Nous avons fait du progrès lors des dernières élections. Nous avons beaucoup de travail à faire. Je dois faire des tournées dans toutes les petites villes, dans toutes les petites communautés des régions du Québec. Je dois hisser le drapeau du libéralisme, je dois faire des discours dans les petites salles, dans les grandes salles, dans les églises, partout», a dit M. Ignatieff.

Le fédéralisme est en train de prendre de l’ampleur au Québec. Cette « réalité » est certaine selon le nouveau chef Libéral. Avec les propos lancés par le Chef Conservateur, ce dernier a perdu énormément de crédibilité au Québec avec les attaques lancées contre le Bloc Québécois. Rappelons que lors de l’annonce d’une possibilité d’un gouvernement de coalition, le Premier Ministre actuel du Canada avait dit que cette idée était antidémocratique et qu’elle serait néfaste pour l’économie canadienne. Il a aussi ajouté que de laisser le droit de véto d’un gouvernement à un Parti souverainiste devrait être totalement proscrit.

23 novembre 2008

F.G. critque de Monsanto

Le capitalisme du 21ème siècle est-il bien établi ? Ma question est mal formulée. La vraie question serait : Le capitalisme que les États-Unis exécutent est-il bien fait. La mentalité plutôt républicaine du « laissez-faire » est-il juste ? Depuis plusieurs années, certaines entreprises ont un poids immense sur les décisions du gouvernement américain. Mais cela va encore plus loin. Parfois, le gouvernement cache des décisions, afin de favoriser des entreprises très puissantes. Voire multinational.

Le documentaire de Marie Monique Jobin nous trace un profil complet d’une compagnie multinational. Elle nous explique la puissance de Monsanto, non seulement aux États-Unis, mais partout à travers le monde. Cette compagnie est Monsanto.

Ce que je trouve bien dans ce documentaire est le fait que Mme Jobin à pu interviewer des personnes de qualités. Les gens qui étaient soumis aux questions de cette dernières étaient des personnes directement lié avec la compagnie, ou des personnes qui ont déjà eu un rôle à jouer dans l’avancement de la puissance de Monsanto. De plus, bien que le documentaire soit fait afin de montrer les atrocités que cette compagnie a pu faire subir à plusieurs gens de différents pays, Mme Jobin a réussi à recueillir les opinions des deux « clans ». Le clan à l’opposition de valeurs véhiculées par cette compagnie, et le clan en accord.

L’information reçue est totalement crédible. Ceux interviewés étaient souvent des experts dans la matière, ayant fait de nombreuses études, ou sinon c’était des ardents défenseurs de la situation.

Une chose que j’ai déplorée tout au long du documentaire est le fait que, la réalisatrice nous montre les démarches de sa recherche. Selon moi, se temps utilisé aurait pu être déplacé pour autre chose. Tel que la longueur des interviews. Vous verrez tout au long du documentaire que, même si le documentaire répond à plusieurs de vos questions, vous en aurez encore à la fin du documentaire, dû à la faible longitude des interviews.

Si je devais noter le documentaire sur une échelle de dix, dix étant la meilleure note, je lui donnerais un sept. Le documentaire, dans son ensemble, est très bien fait, expliqué de manière détaillée. Juste les petits détails inutiles tels que la recherche qui sont montrée ont fait baissés la note. Cependant, une chose est certaine, c’est qu’à la fin du documentaire, vous êtes très bien outillé pour rédiger une « mini thèse » sur les compagnies multinationales américaines.

23 novembre 2008

A.B.C.D.E Le courage d'une vie

Passion, courage, détermination sont les trois mots qui qualifieraient le mieux Anthony Calvillo. À quelques heures de la coupe Grey, il serait bien de rappeler les péripéties de la vie de notre quart étoile, car il y a quelques moi de cela, Anthony vivait une des pires saisons de sa carrière, et qu’à date d’aujourd’hui, il est nommé joueur de la ligue et il jouera en final de

la Coupe

Grey

Contrairement à Montréal, lorsque le quart arrière des Alouettes est de passage dans son pays natal, le Mexique, il est accueilli telle une grande star. Tous les journaux Mexicain parle de lui, et souligne le fait que la grande star est de passage au pays. Le fait qu’un Mexicain excelle dans un sport, le fait qu’un Mexicain reçoive le titre de « Joueur de l’Année » et le fait qu’un Mexicain se retrouve en final de

la Coupe

Grey

représente pour eux une fierté inconcevable.

À Montréal, la situation n’est pas totalement contraire, mais notre quart arrière n’est pas accueilli façon rock star. On commence à réaliser que le talent de Anthony ne se retrouve pas partout, par contre on a jamais vraiment prit en considération que Anthony Calvillo avait la cote sur les Montréalais. Cependant, il y a un endroit à Montréal ou c’est tout le contraire. Un endroit ou A.C est énormément respecté, un endroit ou tout dossier concernant le quart arrière est souvent accepté avec unanimité, et aussi, le seul endroit ou on ne parle pas sur le chèque du quart arrière, qui est, évidemment, le plus élevé de l’équipe.

Lorsque Jim Popp, actuelle Directeur Général de l’équipe, était entraîneur l’an passé, une phrase qu’il a dit à soulevé l’attention de plusieurs journalistes présents. «Qui sait, Anthony jouera peut-être aussi longtemps que Damon Allen». On doit se rappeler que Damon Allen, ancien joueur de football prit sa retraite lorsqu’il eu 44 ans. Cependant, l’an passé, rien ne pouvait nous mettre en confiance avec cette affirmation.

Le tout a commencé lorsqu’Anthony Calvillo ne sait pas présenté à un entraînement. Sachant que cette vedette est très respectée par tout le personnel de l’équipe, le visage était long chez les Alouettes. Joueurs, entraîneurs, directeurs et journalistes, tous avait un visage qui exprimait qu’une émotion : la crainte. On peut facilement conclure que l’entraînement c’est fait dans un calme quasi parfait, et qu’il n’aura pas duré très longtemps.

Quelques jours plus tard, la personne qui faisait la une dans tous les journaux, autant sportif qu’informatif fit un communiqué de presse, affirmant l’une des pires nouvelles qu’un être humain peut subir dans sa vie. Comment pouvons-nous décrire une personne, lorsque cette dernière apprend que sa jeune épouse, qui vient de donner naissance à un bébé de deux semaines, est atteinte d’un cancer ? De quelle manière pouvons-nous faire une synthèse de toutes les émotions que ce couple à pu avoir. Pas besoin de vous dire que, non seulement la famille et le jeune couple, mais toute l’équipe était attristée lors de l’annonce de cette nouvelle. Déjà que la saison n’allait pas très bien, ces nouvelles ne faisait qu’empirer la situation.

Force et courage

«Elle doit passer des tests sanguins à tous les deux mois, et à chaque fois, ça me met les nerfs en boule» raconta Anthony Calvillo. Heureusement pour la famille, les traitements de chimiothérapie et de radiothérapie se sont très bien passés. Alexia Calvillo à bien réagi aux traitements et les médecins sont satisfaits des observations qu’ils ont effectués.

Je le dis souvent, il est impossible pour une personne de se qualifier en un mot, car la vie est un changement perpétuelle. On ne connaît jamais le lendemain, et on ne sait jamais quelles sont les situations qui peuvent chambouler toute notre parcoure de vie. Cette théorie, Anthony Calvillo l’a très bien vécu, et il n’y a pas mieux que lui pour nous la prouver. Bien que tout semble retourner à la normal, une chose est sûr, Anthony Calvillo lui, n’est plus le même homme qu’avant. Les derniers événements l’ont profondément marqué. Sa vision de la vie est devenue totalement différente.

«Je ne vois plus les choses du même œil. J'apprécie et chéris chaque petit moment, chaque match, ce qui n'était pas le cas avant» a révélé le quart arrière des Alouettes. Et ce changement a été perçu par tous ses collègues. Chaque match qu’il joue est un match différent. Le fait d’apprécier chaque moment de la vie, de faire avec passion ce qu’il fait amène un changement complet et visible de tous.

On dit souvent que dans des situations difficiles, une personne ayant certaines croyances religieuses est plus propice à passé au travers. Je ne veux pas me prononcer la dessus, cependant, cette théorie est vrai pour Anthony Calvillo. Lorsqu’il a reçu son titre de « Joueur de l’Année », A.C a voulu remercier celui qui, selon lui, lui a permis de passer a travers ses problèmes. Celui qui lui a donné force, courage et détermination, pour se rendre au stade ou il est rendu, celui qui lui a donné la force de se relever, et de grandir, il a tenu a remercier son meilleur ami, Dieu.

Évidemment, les journalistes lui ont demandés s’il comptait prendre sa retraite à la fin de se match, sans donner de réponse clair, Anthony Calvillo a répondu qu’il prendrait une saison à la fois, et qu’il évaluerait les deux possibilités. Celle de continuer ou celle d’arrêter. Une chose est claire, c’est que si notre quart vedette décide de rester, il aura toujours son poste.

Tout le monde reste sceptique pour le match d’aujourd’hui. La fiche des Alouettes est de 1-4 en match de finale. Si on fait une analyse logique, si la tendance ce maintient, la victoire devrait échapper aux Alouettes. Cependant, Anthony Calvillo s’est donné la mission de détruire ce mythe. « On a une fiche de 1-4 en finale et je sais ce que les gens penseront si je me retrouve avec une fiche de 1-5. Mais si on gagne dimanche, plus personne n'en parlera. Je comprends très bien la situation.»

Une chose est donc clair, c’est que, peu importe la situation, Anthony Calvillo et tout le reste des Alouettes de Montréal se défonceront pour se match, donneront leur 110 % et essaieront de laisser

la Coupe

Grey

a Montréal. C’est un match à ne pas manquer, qui se déroulera dans tout les réseaux de sports canadien à compté de 17h pm.

18 novembre 2008

13,14. On reprend de plus belle

En cette période ou l’économie est au cœur de toutes personnes, lorsqu’un politicien fait une sortie public, la population a besoin d’être rassuré, et cette partie la du travail de politicien, M. Harper ne l’a pas oublié.

Lors d’une sortie publique, M. Harper, Premier Ministre du Canada a affirmé que le discourt du Trône qu’il livrera sera porté principalement sur l’économie. Est-ce une stratégie afin de récolter le vote des partis à l’opposition ? Sachant qu’en matière d’économie, afin de conserver l’appui de la population, la majorité des partis s’entendent sur ce domaine. Une chose de sûr est que, même si M. Harper compte consacrer une grande partie de son discourt sur l’économie, ses promesses sur la justice ne seront pas mises de côté pour autant.

Cependant, le fait que l’économie prenne une grande place dans ce discourt satisfait amplement les chefs des partis à l’opposition. Ce que l’on doit savoir, c’est que même si Stephen Harper a remporté 16 sièges de plus lors des dernières élections, son objectif d’atteindre la majorité n’a pas pu être réussi, et donc, s’il ne veut pas replonger le Canada en élection, l’avis des autres partis détient quand même, un poids majeur.

Aider l’industrie de l’automobile et manufacturier sont dans les demandes de chaque partis. Par contre, la porte parole du bureau du Premier Ministre a fait savoir qu’aucune décision n’a encore été prise, et que toutes les demandes sont prises en considération. Cependant, avec la profondeur du problème, le Premier Ministre se doit d’être prudent, et d’évaluer tout les dossiers, un par un.

Outre le discourt du Trône, un autre sujet fait jaser les politiciens. L’élection d’un Président de

la Chambre.

Cette

année, plusieurs personnes se proposent afin de combler ce poste. Il est important de rappeler que, la personne qui détient se poste, ce mérite aussi un appartement au Parlement, une maison de campagne ainsi qu’une voiture avec chauffeur.

Depuis 2001, le détenteur de ce poste est Peter Milliken. Malheureusement pour lui, son poste est de plus en plus convoité par les députés, et il risque d’avoir des bâtons dans les roues. Les seuls personnes ne pouvant faire de demande de Président de la chambre sont les ministres. La course à l’élection d’un Président sera donc très longue, étant donné que le nombre de candidats est élevé.

Espérons que, même si les partis ne s’entendent pas sur tous les sujets, en matière d’économie, ils pourront trouver un accord.

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17 novembre 2008

10,11,12. Ça bouge dans l'économie

« Il faut réformer le capitalisme d’aujourd’hui. On ne peut plus se baser sur un capitalisme spéculateur, mais sur un capitalisme d’entreprenariat ». Tel fut la mission que Nicolas Sarkozy et tout les autres participants du G20 se donnèrent le 14 et 15 novembre. Au terme de ce sommet extraordinaire – le seul depuis 10 ans -, le G20 finit par trouver un plan de sauvetage, afin de rétablir l’ordre dans l’économie mondial.

Au terme d’un long débat, les dirigeants du G20 ont fini par rédiger une déclaration de cinq pages, ainsi qu’un plan d’action de sept pages, farouchement acclamé par le Premier Ministre du Canada, Stephen Harper.

Afin d’éviter le retour d’une crise de tel envergure, les dirigeants du G20 ont donné comme mission à leur ministre des Finances de rédiger, d’ici le 31 mars 2009 un plan d’attaque qui aura pour but la réformation des institutions financières puissantes de leur pays, et de trouver un moyen d’éviter une futur crise.

En ce temps d’incertitude, les dirigeants des 20 pays les plus puissants du monde ont promis de restaurer la croissance économique mondiale le plus rapidement possible en s’assurant de la transparence de leur marché dérivé, et aussi, évités de se confier à une forme de politique protectionniste, mais plutôt d’agencer leur différentes forme d’institution financière à celle des autres pays économiquement puissantes dans le seul but de renforcer les institutions financières mondiales.

«Dans cette détérioration de la conjoncture économique mondiale, affirme le communiqué des dirigeants du G20, nous avons convenu de la nécessité d’une plus vaste action des pouvoirs publics, fondée sur une coopération plus étroite au niveau macroéconomique, pour rétablir la croissance, éviter un effet d’entraînement négatif et appuyer les économies de marché émergentes et les pays en développement.»

Cette réforme complète comprend en tout cinq grand volets. En tout premier lieu elle vise à augmenter la transparence et la reddition des marchés financiers, à augmenter la sécurité de ces marchés par des nouvelles formes de surveillances plus accrues, à établir une forme de coopération internationales, comprenant les pays émergent, et en tout dernier, à renforcer la surveillance et l’effectif des puissants marchés financiers mondiaux tel que le FMI et Bretten Woods. Le plan d’action comprend aussi un élargissement du Forum sur les stabilités financières afin d’y inclure l’économie des pays émergents.

Dans le but de voir des résultats positifs le plus rapidement possible, et ainsi rassurer les ménages, le G20 à ordonner diverses mesures à court terme. L’amélioration des normes comptables internationales telles que KPMG est l’une de ces mesures. De plus, le FMI, Bretten Woods et le Forum sur la stabilité financière devront présenter des suggestions afin d’éviter une autre crise de cette envergure. « On veut baliser la rémunération des cadres et les pratiques relatives à l’évaluation et au levier financier ». Le G20 veut aussi s’assurer que les agences de titre respectent à la lettre, toutes les règlementations que les agences chargés de rédiger une règlementation émettront. En bref, le G20 veut s’assurer que toutes les mesures qui seront prises seront respectées, et qu’aucune tolérance face à ces règlementations ne sera acceptée. Ces mêmes dirigeants veulent aussi s’assurer que chaque institution financière dispose d’un capital raisonnable.

Cette rencontre extraordinaire du G20 comprenait plusieurs pays puissants tel que le Japon, le Canada et les États-Unis, mais aussi les pays émergent dont

la Chine

, l’Inde et le Brésil.

Le G20 a promis de se réunir une autre fois avant le 30 avril 2009 afin de discuter sur les progrès fait.

21 octobre 2008

8,9. Dion se dit vaincu

Dion rend son veston

Au lendemain de l’élection général du 14 octobre, l’avenir de Stéphane Dion, chef du parti Libéral, était incertain. Resterait-il chef du Parti Libéral du Canada. Il faut se dire que le PLC a perdu plusieurs sièges dans la chambre des communes et est devenu beaucoup plus faible. Lors de l’élection de 2006, le Parti Libéral contenait 106 sièges, et maintenant il contient un maigre 76. Soit 26,2% du vote populaire.

Le suspense a duré six jours, mais le 20 octobre, Stéphane Dion a finalement tenu une conférence de presse nous faisant savoir son avenir. Comme tout le monde s’en doutait, M. Dion ne compte pas rester chef du Parti Libéral. Il compte donner le relais lors du prochain congrès du Parti Libéral du Canada. Durant tout le long, on a pu voir un M. Dion, très intelligent, avec une vision du pays exemplaire, mais avec seul défaut, le charisme.

Stéphane Dion n’a jamais réussi à avoir la confiance des Canadiens. Même si son programme était bien structuré, il n’a jamais pu le vendre, et ce manque de charisme c’est fait critiquer non seulement par la population mais les gens de son parti aussi. Plusieurs disent que le fait que Stéphane Dion est perdu cette élection peut être attribuable au thème principal du PLC. L’environnement. La déclaration d’une nouvelle taxe sur le carbone à surement découragé plusieurs électeurs. Lors de la conférence de presse, il a indiqué qu’un Canada vert aurait fait un Canada plus juste et plus vivable pour nos jeunes enfants.

Peu de Libéraux ont essayés de convaincre Stéphane Dion à rester en poste. La majorité du Parti remet en doute son leadership, et disent que pour reconstruire un Parti Libéral, il nous faut un chef, un vrai. Le changement de chef se fera en mai 2009 lors du prochain congrès du PLC.

Plusieurs députés Libéraux ont toutefois félicité M. Dion de son courage et son dévouement pour l’avancement de ce parti, car qu’on le veuille ou non, M. Dion c’est donné corps et âme pour le bien être du PLC. L’ancien Ministre de

la Justice

, Martin Cauchon a été l’un des premiers à rendre hommage à M. Dion pour l’effort donné à la reconstruction du Parti.

Plusieurs députés sont candidats à la chefferie du Parti Libéral. On y retrouve Michael Ignatieff, leader adjoint du parti, Bob Rae, Martha Hall Findlay, John Manley, Gerard Kennedy et Martin Cauchon. Nous saurons en mai 2009 qui sera le prochain chef du PLC. Une chose est sur, ce chef aura beaucoup de travail s’il souhaite redonner le pouvoir au PLC.

20 octobre 2008

6,7. Crise financière: Sarkozy prend le lead

Crise financière

La crise financière prend de plus en plus d’ampleur de jour en jour. Même si les grands indices boursiers gagnent des points, le jour suivant, ils en perdent autant ou même plus. Les banques américaines sont dans des situations très graves et tous les gouvernements cherchent des solutions pour relancer l’économie. C’est ce que le président Sarkozy a laissé savoir lors de sa visite au Canada.

Le président français a fait savoir que pour régler cette crise, il faut une reformulation du capitalisme. Il a aussi dit que pour le moment, les gouvernements agissent en égoïsmes, et qu’il devrait plutôt s’allier et trouver une solution ensemble. C’est pour cela qu’il veut tenir un Sommet avec les 27 pays membres de

la Commission

Européenne.

«Vous pensez qu'on a une petite crise à gérer, peut-être?» Le président Sarkozy se fait alarmant. Selon lui il ne sert à rien de dire à la population que tout va bien. La crise est bien visible et il faut faire quelque chose le plus vite possible si on veut se sortir de la crise avec le moins de séquelle possible.

Le Premier Ministre Harper, lui, se fait moins alarmant et reste calme disant que les institutions financières du Canada ont une bonne gestion et que les conséquences de la crise ne se font pas paraître. Par contre, il ne néglige pas le fait qu’une faille a été trouvée dans le capitalisme. « On a un capitalisme sans règles, qui manque d'information précise, on le voit au niveau international, au niveau national, on est tous dans le même bateau. L'argent traverse les frontières d'une façon qui crée de l'instabilité. Cela ne veut pas dire que le capitalisme a coulé, mais que nous avons la responsabilité de créer des mécanismes internationaux pour améliorer les marchés » a soutenu M. Harper.

Le Président français a aussi dit qu’à la suite du Sommet, il faudrait tenir une réunion des 8 pays les plus industrialisés du monde incluant

la Chine

et l’Inde. Avec la montée économique de

la Chine

et de l’Inde, il serait impensable que ces 2 pays ne fassent pas parti du Sommet du G8. Il faudra un ordre du jour très structuré et ambitieux. Le capitalisme devra se réformer pour régulariser les pertes des derniers mois. Le monde aura besoin du Canada. La gérance des institutions bancaires du Canada est très bonne, et un modèle de ce genre lors d’une réunion des pays industrialisé sera important. Si on veut rebâtir le capitalisme, on aura besoin des forces du Canada.

Le leadership de Nicolas Sarkozy est remarquable. C’est de cela qu’il nous manquait. Le monde avait besoin de quelqu’un pour remettre les pendules à l’heure, et faire bouger les choses. On ne peut se lier à un plan de sauvetage, il en faut beaucoup plus, et l’idée d’un Sommet est très intelligent. Le Premier Ministre Stephen Harper a aussi loué le leadership de Nicolas Sarkozy. Ce dernier a souligné que le capitalisme doit prendre un nouveau tournant. «Nous sommes au XXIe siècle, on ne peut pas continuer avec les institutions et les principes du siècle précédent», a-t-il soutenu. Prendre cette crise à la légère et se dire que cela va passer est la pire chose que l’on puisse faire selon Sarkozy. On a beaucoup de travail à faire.

20 octobre 2008

4. Obama séduit le monde

Le 4 novembre, près de 250 millions d’Américains seront appelés à voter entre Barack Obama, candidat démocrate ou John Mccain, candidat républicain. On ne peut savoir pour le moment si le candidat démocrate gagnera avec une grande avance, cependant, si l’élection serait à l’échelle planétaire, le sénateur Illinois gagnerait avec une écrasante victoire.

Un sondage fait par

la Presse

rapporte qu’en suisse, Barack Obama obtient 83% des votes contre un maigre 7% pour John Mccain.

Le Canada est le second pays ou le candidat démocrate est le plus populaire, avec 70% de partisans contre 17% pour John Mccain. Ironiquement, Stephen Harper, lors des élections canadiennes du 14 octobre, a remporté plus de 20 sièges, tandis que le Parti Libéral en a perdu 18. Toute fois, le sénateur John Mccain fait une belle percée en Pologne, même si le candidat démocrate est en avance de 17 points.

Ce qui pourrait expliquer cette situation est simple. Le monde à vu une politique républicaine pendant huit ans et l’on en horreur. Le monde veut du changement, et accepterait n’importe qu’elle candidat qui pourrait amener se changement, qu’il soit noir ou blanc. Et avec Barack Obama, se changement est assuré.

De plus, cette montée démocrate va plus loin qu’un simple dégoût pour George W. Bush. Le monde est en crise. Autant militairement qu’en économie, le monde a besoin d’un leader américain, qui pourra changer cela. Nous avons besoin de quelqu’un en qui nous pourrons avoir confiance, et le sénateur Barack Obama est cette personne.

22 septembre 2008

2ème blague du Jour: Sa en vaut la peine

- Docteur, j'ai de la diarrhée mentale.
- C'est à dire ?
- A chaque fois que j'ai une idée, c'est de la merde !

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